Jadis, les agences de presse rapportaient les faits sans prendre parti, laissant les commentaires aux éditorialistes et autres commentateurs. Mais depuis le Covid-19 la plupart d’entre elles, rémunérées par Bill Gates, sa fondation et ses extensions, se sont transformées en organes de propagande provax et émettent sans arrêt des désinformations qu’elles surnomment pompeusement « checknews » [vérification de nouvelles].
Actuellement l’AFP, financée largement par l’État met à la disposition de tous l’information disponible facilement utilisable et qui devient la référence facile pour tous les petits journaux qui n’ont pas de subsides pour envoyer des journalistes dans le monde. « Fact check » [Vérification des faits] à disposition !
Parmi celles-ci, l’AFP se signale par son agressivité malveillante envers les donneurs d’alerte comme récemment envers le professeur Perronne.
Nous reprendrons quelques-uns des mensonges de l’AFP les plus éhontés utilisés pour discréditer le professeur Perronne qui ne peut pas être qualifié d’antivax : expert vaccins de l’OMS pour l’Europe, il a établi pendant plus de dix ans le calendrier vaccinal français.
1°) Les injections Covid actuelles seraient des vaccins ! L’AFP ment en le prétendant
Pasteur a défini un vaccin comme contenant des antigènes provenant d’un virus tué ou inactivé. Les injections anticovid actuelles ne contiennent aucun antigène, mais ont pour principe actif un ARN messager. Ce sont donc des médicaments génétiques à visée préventive et non pas des vaccins.
Affirmer le contraire comme le fait l’AFP témoigne de l’ignorance de ce qu’est un vaccin ou d’une mauvaise foi marchande. D’ailleurs le Pr Delfraissy lui-même a récemment admis qu’il s’agissait en réalité d’« une forme, un peu, de vaccin médicament… Disons un « vaxicament”. » L’AFP va-t-elle bientôt le traiter lui aussi de complotiste ?
2°) Ces injections sont bien expérimentales. L’AFP ment en prétendant : « les vaccins autorisés en France ne sont plus au stade expérimental »
Pour tenter de démentir ce fait établi et vérifiable, l’AFP utilise des déclarations trompeuses de responsables des vaccinations ou de médecins très liés aux lobbys pharmaceutiques, mais ne montre aucun fait probant.
Il est pourtant très facile de savoir si un médicament est encore en expérimentation : il suffit de consulter le site gouvernemental américain « clinicaltrials.gov » qui recense tous les essais médicamenteux en cours, leur état d’achèvement et éventuellement leurs résultats publiés.
Si l’AFP l’avait fait, elle aurait constaté qu’aucun pseudo vaccin actuel n’a terminé ses essais phase 3 dont la fin est espérée pour janvier 2023.
L’essai le plus avancé, celui de Pfizer ne sera terminé que dans un an !
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